Poèmes pour l'automne

L'automne, qui est la saison où les feuilles des arbres à feuilles caduques changent et que sa couleur verte devient jaunâtre, a inspiré de nombreux poètes à écrire à ce sujet. Si vous souhaitez enseigner à vos enfants ou à vos élèves des poèmes sur cette station, dans cet article sur .com, nous vous proposons quelques idées. Ensuite, nous vous montrerons quelques poèmes pour l’automne.

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Automne

Répandre Octobre, au mouvement mou

du sud, les feuilles dorées et rouges,

et, dans la chute claire de ses feuilles,

la pensée est prise à l'infini.

Quelle paix noble dans cet isolement

de tout; oh belle prairie que tu feuilles

tes fleurs oh eau froide toi, tu mouilles

avec ton cristal secoué le vent!

Enchantement d'or! Prison pure,

dans lequel le corps, fait âme, devient tendre,

allongé dans la verdure d'une colline!

Dans un déclin de la beauté,

la vie est nue et brille

l'excellence de sa vérité divine.

JUAN RAMÓN JIMÉNEZ

Automne

Profitons de l'automne

avant l'hiver

visage coude au soleil

et admirer les oiseaux qui migrent

maintenant ça réchauffe le coeur

même si c'est un peu petit à petit

pensons et sentons

avec le vieil amour qui nous reste

profiter de la chute

avant que le futur ne gèle

et il n'y a pas de place pour la beauté

parce que l'avenir devient gelée.

MARIO BENEDETTI

Automne

En flammes, à l'automne, brûlé,

mon coeur brûle parfois,

pur et seul. Le vent le réveille,

touche son centre et le suspend

à la lumière qui ne sourit à personne:

Combien de beauté en vrac!

Je cherche des mains,

une présence, un corps,

ce qui brise les murs

et donne naissance à des formes en état d'ébriété,

un contact, un fils, un virage, une aile à peine;

Je regarde en moi,

des os, des violons intacts,

vertèbres délicates et sombres,

des lèvres qui rêvent des lèvres,

des mains qui rêvent des oiseaux ...

Et quelque chose qui n'est pas connu et dit «jamais»

tombe du ciel,

de vous, mon Dieu et mon adversaire.

OCTAVIO PAZ

Lever du soleil d'automne

Une longue route

entre les roches grises,

et quelques humble prairie

où paissent les taureaux noirs.

Ronces, mauvaises herbes, jarales.

Il y a la terre humide

par les gouttes de rosée,

et le centre commercial doré,

vers la courbe de la rivière.

Après les montagnes de violette

cassé le premier albor;

derrière le fusil de chasse,

parmi ses lévriers acérés,

promener un chasseur.

ANTONIO MACHADO

Papillon d'automne

Le papillon se retourne

et il brûle - avec le soleil - parfois.

Voler la tache et la fusée éclairante

maintenant il est arrêté

sur une feuille qui bascule.

Ils m'ont dit: -Vous n'avez rien.

Tu n'es pas malade Il te semble

Je n'ai rien dit non plus.

Et le temps de la récolte est passé.

Aujourd'hui une main de chagrin

plein d'automne l'horizon.

Et même les feuilles tombent de mon âme.

Ils m'ont dit: -Vous n'avez rien.

Tu n'es pas malade Il te semble

C'était l'époque des pointes.

Le soleil maintenant

convalescence

Tout se passe dans la vie, les amis.

Ça va ou périt.

La main qui vous induit est partie.

Ça va ou périt.

La rose que vous perdez est partie.

Aussi la bouche qui t'embrasse.

L'eau, l'ombre et le verre.

Ça va ou périt.

Le temps des oreilles passa.

Le soleil, maintenant, se convoque.

Sa langue chaude m'entoure.

Il me dit aussi: -Il te semble.

Le papillon se retourne

ça flotte,

et disparaît.

PABLO NERUDA

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